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An 2   Armée de l'Ouest

Commission Militaire

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            Les commissions militaires révolutionnaires sont des tribunaux d’exception distincts des tribunaux militaires ; ils furent instaurés de manière transitoire, par les représentants en mission, dans les départements les plus affectés de mouvements hostiles à la Révolution, afin de juger les causes en rapport avec l’état de guerre.

  Les lois du 9 octobre 1792, du 28 mars 1793 et du 16 juin 1793, prévoient le jugement, dans les vingt quatre heures, des émigrés pris les armes à la main et des français ou étrangers convaincus d’espionnage, par une commission nommée par le chef d’état-major de la division du secteur de leur capture. La seule peine encourue est la mort, son exécution étant immédiate.

  Soixante commissions voient le jour et font plus de victimes que les tribunaux révolutionnaires. Ainsi sont restées tristement célèbres en Vendée et en Bretagne les commissions Frey, O’Brien et Brutus Magnier (du nom de leur premier président).                                   Figurent ici :  un représentant du peuple aux armées, un officier général, un officier du 9° Régiment de Hussards, aide de camp, un brigadier de Gendarmerie, un « Mayençais », soldat de l’an 2, un petit tambour de la République, le drapeau du 2° bataillon du 109° Régiment, en garnison à Nantes. A noter la statue mutilée de Saint Yves, saint patron de la Bretagne…et des avocats.

e grandes lettres fines, qui a un bon rendu sur de nombreux sites.

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